La commune n’assure pas par elle-même tous les services aux administrés. Elle s’associe à des Etablissements Publics de Coopération Intercommunale (EPCI) dans lesquels les conseillers municipaux représentent la commune pour assurer les compétences qu’elle ne peut pas assurer elle-même.
Parmi ces compétences transférées, il y a :
– Le traitement et la distribution de l’eau (SIECT).
– La distribution de l’électricité (SDEGH).
– La collecte, le tri sélectif et le traitement des Ordures Ménagères (CCRCSA).
– Le développement du Tourisme (CCRCSA).
– Le développement économique (CCRCSA).
– L’animation de la petite enfance (CCRCSA).
La réforme des collectivités et ses conséquences en 2011
Pour reprendre la motivation des textes de la réforme : Favoriser l’allègement des structures, l’optimisation des coûts et des services par une meilleure mutualisation et faire progresser la solidarité territoriale.
En cette année 2011, l’objectif est d’atteindre une couverture intégrale de la France par des intercommunalités au plus tard le 01 juin 2013. Les préfets ont pour mission d’élaborer un schéma départemental de la coopération intercommunale et présenter leur proposition pour le 31 décembre 2011 après concertation avec les élus locaux et consultation de la Commission Départementale de Coopération Intercommunale (CDCI).
L’élection des conseillers intercommunaux s’effectuera au suffrage universel direct par un système de « fléchage » et ce, dès les élections municipales 2014.
Les textes précisent que pour créer une intercommunalité, l’ensemble des communes la composant doivent représenter une taille minimale de 5000 habitants. Se pose donc la question du devenir de notre intercommunalité – CCRCSA – dont le nombre d’administrés est en deçà du seuil (3000 habitants environ) mais créée avant la réforme.
Vos élus ont travaillé sur un dossier qui argumente le fait de préserver cette structure en l’état par dérogation en jugeant ses compétences actuelles et sa maîtrise budgétaire comme adaptées…. mais le préfet aura toujours tout pouvoir de décision pour faire respecter les textes de loi….A défaut d’obtenir satisfaction à quelle intercommunalité serons nous rattachés ? Quel en sera l’impact pour les communes et leurs contribuables ? En tout état de cause, le résultat des discussions, cette année 2011, a permis de conserver cette dérogation.
Communauté de Communes Rurales du Savès et de l’Aussonnelle (CCRCSA)
Siège : Mairie de Saiguède, 5 rue du 8 mai 1945, 31470 SAIGUÉDE – Téléphone : 05 61 76 73 98 – Email :
Cet EPCI regroupe les communes de Bonrepos-sur-Aussonnelle, Bragayrac, Empeaux, Sabonnères, Saiguède et Saint-Thomas autour des compétences suivantes :
Développement économique
Contribuer au développement économique de l’espace communautaire par :
– La création, l’aménagement, la gestion et l’entretien de zones d’activités industrielles, artisanales, commerciales et tertiaires.
– La création, l’aménagement et la gestion de bâtiments destinés à l’accueil des entreprises.
– L’organisation de manifestations de promotion du territoire communautaire et de ses produits
– La réalisation de support d’information pour l’accueil des entreprises sur l’espace communautaire.
Promotion et mise en valeur de l’environnement
– Assurer la collecte des ordures ménagères et assimilés, gérer des déchèteries.
– Assurer le traitement des déchets ménagers et assimilés.
– Protéger et mettre en valeur le patrimoine et les sites naturels.
Aménagement touristique
– Élaborer un schéma communautaire d’aménagement et de développement touristique et de loisirs.
– Réaliser des actions inscrites dans le schéma.
– Réaliser des supports d’informations de promotion touristique.
– Créer des circuits touristiques.
– Aménager et entretenir les sentiers de randonnée.
Enfance et jeunesse
– Mise en place et gestion de structures liées à la petite enfance : garderies périscolaires, centre de loisirs sans hébergement, relais assistantes maternelles.
Mise à disposition de matériel
– Assistance aux communes membres par mise à disposition de matériels.
Plan de Prévention des Risques Sécheresse
Le phénomène de retrait gonflement de sols argileux est lié aux variations de leur teneur en eau : ils gonflent avec l’humidité et se rétractent avec la sécheresse.
L’impact sur les constructions n’est pas négligeable notamment pour celles légères de plain-pied ou aux fondations peu profondes. Cela peut se traduire par des désordres importants et coûteux tels que fissures des murs, des soubassements, distorsion des ouvertures, décollements des bâtis annexes, rupture de canalisations enterrées….
Pour éviter ces désagréments voici les principales précautions à prendre, efficaces et relativement peu coûteuses :
– Adapter les fondations.
– Rigidifier les structures par des chaînages et désolidariser les bâtiments accolés.
– Sous-sol général ou vide sanitaire requis, pas de demi sous-sol.
– Eviter les variations localisées d’humidité, éloigner les infiltrations d’eau pluviale, les fuites des canalisations enterrées et penser à des trottoirs ou géomembranes périphériques pour protéger les fondations.
– Éloigner les plantations d’arbres, maîtriser leur hauteur, à défaut poser des écrans anti-racines en profondeur entre les arbres et les fondations.
La réalisation d’une étude de sol par un bureau d’étude spécialisé est exigée au permis de construire pour déterminer la structure des fondations en fonction de la dureté du sol.
L’urbanisme recouvre l’étude de l’organisation de la ville et de ses territoires.
C’est une discipline associée tantôt à l’architecture urbaine, tantôt à la géographie.
Les pratiques et techniques de l’urbanisme découlent de la mise en œuvre des politiques urbaines telles que :
– le logement,
– le transport et les déplacements,
– l’environnement,
– les zones d’activités économiques et commerciales.
C’est l’outil de la gestion de la cité et débouche sur une planification qui est respectueuse du potentiel géographique en vue d’une meilleure harmonie des usages et du bien-être des utilisateurs (résidents, actifs, touristes).
L’urbanisme couvre ainsi toutes les opérations d’aménagement du territoire et met en place l’ensemble des plans (Plan Local d’Urbanisme -PLU) et des actions cohérentes qui permettent l’organisation optimale de la ville (fonctions techniques, sociales, écologiques et esthétiques).
Les documents de référence de l’Urbanisme
1) Le Code de l’Urbanisme donne le cadre légal de cette discipline et requiert que des documents définissant la règle locale de l’urbanisation soient établis par la collectivité locale.
2) Le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) établi par le SMEAT qui définit la stratégie du développement territorial de la grande agglomération toulousaine et fournit des prescriptions quant au développement du territoire.
3) les Plans de Prévention des Risques (PPR) naturels (Cf. évaluation) :
4) Le Plan Local d’Urbanisme (PLU) applicable au village de Bonrepos-sur-Aussonnelle est un document opposable établi par le conseil municipal définissant la politique de développement du village et validé par de nombreux organismes officiels ainsi que les villes et villages environnants. Il comprend entre autres :
– le Projet d’Aménagement et de Développement Durable (PADD) pour la commune
– ainsi que des documents graphiques (Plan_PLU_2009)
Il est établi en accord avec les références du code de l’urbanisme (CU) et les documents qui suivent.
5) Les cahiers des chartes et/ou les règlements de lotissement figeant des prescriptions propres aux lotissements.
Lorsqu’un lotissement est créé, il peut être régi par un règlement du lotissement qui peut fixer des exigences plus contraignantes que le PLU. En aucun cas un règlement ne remplace le PLU mais il en est complémentaire.
Nota : L’ordre des documents ci-dessus correspond à la prédominance de chacun des documents les uns par rapport aux autres. Ainsi :
– le PLU est assujetti aux règles des Plans de Prévention des Risques et du SCoT, eux-mêmes assujettis aux règles du Code de l’Urbanisme,
– et les règlements de lotissement sont assujettis aux règles du PLU
Toute construction sur le territoire nécessite une autorisation du maire : cf. la notice explicative pour les PC.
Vos projets
Il appartient à chaque administré de s’assurer que ses projets sont en accord avec l’ensemble des documents cités précédemment.
Hors plan d’aménagement (lotissement de plusieurs parcelles définies par un Permis d’Aménager), pour connaître les caractéristiques et les prescriptions liées à une parcelle sur laquelle vous projetez une construction, vous devez obtenir un Certificat d’Urbanisme (CUa) pour la parcelle.
Pour déterminer la faisabilité d’un projet sur une parcelle pour une zone du territoire de la commune, les services de la mairie sont à disposition pour analyser vos projets en déterminer la faisabilité technique et juridique (par un demande de Certificat d’Urbanisme Opérationnel – CUb) et assurer l’aboutissement de votre dossier de demande d’autorisation (PC, DP, PA) avant dépôt officiel.
Nota : Pour les constructions en zones autorisées non desservies par l’assainissement collectif, la définition et l’agrément du système d’assainissement individuel projeté sont un préalable au dépôt de Permis de Construire. Se renseigner en mairie.
Le PLU de Bonrepos, outil majeur de la gestion de l’urbanisme
Avec le comblement progressif des zones ouvertes à l’urbanisation, la commune disposait d’une offre foncière très réduite, hypothéquant alors une perspective de développement nécessaire pour favoriser l’optimisation des équipements et des services publics.
L’objectif fut alors, tout en maîtrisant le rythme d’évolution, de privilégier un développement de la zone urbaine en débloquant progressivement des secteurs à l’urbanisation en fonction de leur distance du centre du village garantissant ainsi une cohésion de l’espace urbain et respectant des principes de continuité urbaine, de développement des liaisons inter-quartiers ou d’extension cohérente des réseaux.
Le rythme annuel de la construction a ainsi été déterminé sur la base d’une analyse technique et financière qui a permis de rationaliser l’ouverture à l’urbanisation du territoire. Ainsi le PLU est modifié régulièrement pour ouvrir progressivement des zones programmées (2AU) en zones effectivement ouvertes à l’urbanisme (1AU).
Au regard de la dynamique urbaine de l’agglomération toulousaine au moment de l’élaboration du PLU et de la superficie totale du territoire de la commune, ces deux types de zones sont révélateurs de la stratégie communale de maîtrise de l’urbanisation. Le respect de l’environnement a été également un des facteurs essentiels dans l’élaboration du PLU en regard de la part importante des surfaces destinées aux espaces verts.
Dans les secteurs « raccordables » à l’assainissement collectif, les parcelles varient entre 900 et 1200 m² (2500 m² minima pour les non-raccordables). Une ouverture de l’ordre de 2,5 hectares chaque année permettrait de respecter les prévisions de la commune.
Une première modification du PLU initiée en 2008 et approuvée en janvier 2009 a ouvert à l’urbanisation deux zones classées en 2AUa, l’une au quartier du Mondou et l’autre à la Grande Borde en continuité d’un secteur récemment aménagé.
En début 2014, l’ensemble des zones ouvertes par la première modification du PLU en 2009 sera aménagé. Cette année verra la deuxième modification pour ouvrir d’autres zones à la construction. Cette modification devra être approuvée par le SMEAT (Syndicat Mixte d’Etudes de l’Agglomération Toulousaine) au regard des prescriptions du SCoT (Schéma de Cohérence Territoriale).
L’évolution des règles d’urbanisme (lois ALUR) vont faire évoluer ces principes en contraignant à un moindre étalement. Le visage de Bonrepos, comme de toutes autres villes et villages, va changer de par la loi. De plus un recentrage des compétences, et particulièrement celle de l’urbanisme, vers des EPCI comme les communautés de communes, les communautés d’agglomération, communautés urbaines, métropole fera que les décisions seront de moins en moins prises au niveau de la commune.
Né le 2 janvier 1911.
Employé municipal à Toulouse.
Militant du Parti Socialiste SFIO.
Au moment de l'attaque, il fait partie des quelques hommes qui se trouvent encore à Gagen.
Il parvient à fuir à travers bois en direction du Candelé, mais il est stoppé entre les fermes Lacombe et Cambrai.
A laissé une femme et deux enfants.
André Cavagnol
Né le 7 mai 1914 à Toulouse.
Rédacteur au Service du Contentieux de la mairie de Toulouse.
Militant des jeunesses socialistes S.F.I.O.
Au moment de l'attaque, il fait partie des derniers hommes à se trouver encore à Gagen.
Dans sa fuite à l'arrière du château, il est abattu dès l'entrée du bois.
Laisse une épouse.
Lucien Lafforgue
Né le 3 mai 1907 à Toulouse.
Ouvrier en chaussures.
Avec un modeste salaire, assure la subsistante d'un père veuf et infirme ainsi que d'une jeune sœur et d'un frère prisonnier en Allemagne.
Militant FTPF (Francs-Tireurs et Partisans Français) spécialiste des sabotages.
Au moment de l'attaque, il fait partie des quelques hommes qui restent encore à Gagen. Il est tué à seulement quelques mètres du château.
Jean Micoud
Né le 7 juillet 1897 à Grenade.
Chef de section à la Direction des travaux de la ville de Toulouse.
Lieutenant de réserve.
Militant SFIO.
Au moment de l'attaque, il fait partie des quelques hommes qui se trouvaient encore à Gagen.
Parvenu à s'échapper à travers les bois en direction du Candelé, c'est à la sortie de ce bois, longeant une haie vive, qu'il est abattu.
A laissé une épouse et 4 enfants.
Abel Autofage
Né le 18 février 1919 à Carcassonne.
Sapeur-pompier à Toulouse.
Chargé au maquis de l'instruction des armes.
Au moment de l'attaque, il faisait partie des derniers hommes à se trouver à Gagen.
Il est tué à quelques mètres du château alors qu'il couvrait la retraite des maquisards sans armes.
Il laisse ses parents et sa jeune femme.
Léonce Gonzales
Né le 19 mars 1917 à Grenade (Andalousie).
Combattant de la guerre d'Espagne.
Au moment de l'attaque, il se trouve au château du Candelé.
Alors que la position est rapidement évacuée sous les tirs des mitrailleuses lourdes,
il est tué à l'orée du bois de la Taillade alors qu'il revenait vers le château.
Joseph Vié
Né le 9 octobre 1901 à Lanta.
Militant syndicaliste.
"Cuistot" du maquis.
Au moment de l'attaque, il fait partie des quelques hommes qui se trouvent encore au château de Gagen.
Alors qu'il remonte par les bois en direction du Candelé, il est abattu entre les fermes Lacombe et Cambrai.
Son fils qui l'accompagnait a pu s'échapper et eut la vie sauve.
A laissé une épouse et 2 enfants.
André Bousquairol
Né le 4 août 1923 à Toulouse.
Etudiant en chirurgie.
Chef de troupe des éclaireurs de France.
Organise avec François Verdier et le docteur Baudot le Service de Santé des maquis.
Au moment de l'attaque, il fait partie des quelques hommes qui se trouvent encore au château de Gagen.
Dans sa fuite, il est atteint par le fusil mitrailleur installé à la ferme de Cambrai.
Laisse ses parents et ses deux jeunes sœurs.
Mentions légales
Informations éditeur : Le site bonrepos-sur-aussonnelle.fr est géré par le service Communication de Bonrepos sur aussonnelle. L'animation éditoriale et les mises à jour du site sont assurées par les webmestres du service Communication en liaison avec l'ensemble des directions de la Commune.
Directeur de la publication : Commission Communication.
Pour toute suggestion, information, réaction concernant ce site, n'hésitez pas à écrire au webmestre : par voie électronique : par voie postale : Mairie de Bonrepos sur Aussonnelle 31470 Bonrepos sur Aussonnelle par téléphone : 05 61 91 72 00
Droit d'auteur et reprise du contenu mis en ligne : Sous réserve des exceptions légales, tous les contenus présents sur le site municipal sont couverts par le droit d'auteur. Toute reprise est dès lors conditionnée à l'accord de l'auteur en vertu de l'article L.122-4 du Code de la Propriété Intellectuelle.
Tous les contenus écrits et/ou mis en ligne par la rédaction du site bonrepos-sur-aussonnelle.fr ne peuvent être reproduits librement sans l’autorisation de leur auteur. Toute demande de représentation ou reproduction intégrale ou partielle doit être adressée à : Mairie de Bonrepos sur Aussonnelle 31470 Bonrepos sur Aussonnelle
ou par courrier électronique :
Si la Commune a autorisé la reproduction d'un contenu, il est obligatoire de l'assortir de : - la mention Article paru sur le site bonrepos-sur-aussonnelle.fr. Cette mention pointera grâce à un lien hyper-texte directement sur le contenu. - la mention "Droits réservés", à la fin de chaque contenu repris.
Toutes les photographies, vidéos, infographies et autres éléments techniques et graphiques disponibles sur le site bonrepos-sur-aussonnelle.fr sont couverts par des droits de propriété intellectuelle. Toute reproduction ou représentation partielle ou totale pour quelque usage que ce soit est interdite sans l'accord préalable des titulaires de droits.
Toute demande de mise en relation avec l’auteur d’une photographie, vidéo ou autre élément technique et graphique publié sur ce site devra être adressée à : Mairie de Bonrepos sur Aussonnelle 31470 Bonrepos sur Aussonnelle
ou par courrier électronique :
Traitement des données personnelles : Conformément aux dispositions de la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés, vous disposez d'un droit d'accès, de rectification, de modification et de suppression concernant les données qui vous concernent. Vous pouvez exercer ce droit en envoyant un mail au correspondant informatique et libertés (CIL) et en justifiant de votre identité.
Il vous est également possible d'envoyer un courrier à l'adresse suivante : Service Communication Mairie de Bonrepos sur Aussonnelle 31470 Bonrepos sur Aussonnelle
Informations hébergeur : Le site bonrepos-sur-aussonnelle.fr est hébergé par la société Web Hébergeur France : 13 Rue des Jollivettes 85300 SOULLANS Tel : 03.57.75.57.30 Site internet : www.web-hebergeurs.pro
Réalisation du site : Service Communication Mairie de Bonrepos sur Aussonnelle
Associations
Sur ce site, une grande place a été volontairement laissée aux associations qui sont le cœur de l'animation de notre village. Néanmoins, les contenus (textes, images, vidéos, etc.) pourront être modifiés ou supprimés s’ils portent atteinte à la vie privée, à l’image d’une personne ou pour diffamation, incitation à la haine, discrimination.
Horaires d'ouverture de la Mairie
Matin
Après-midi
Lundi
de 9h à 12h
de 14h à 17h
Mardi
de 14h à 17h
Mercredi
de 9h à 12h
de 14h à 17h
Jeudi
de 14h à 17h
Vendredi
de 14h à 17h
Pour les dépôts de demandes d'autorisations d'urbanisme, merci de prendre rendez-vous par téléphone ou d'utiliser le formulaire de Contact.